Mais comment cela a-t'il commencé ????

Ha punaize, une BD avec ca et on rigole tout le WE

tant qu'on ne dessine pas thebig avec une grande queue et des taches jaunes car le concept et déjà pris on peut se rapatrier sur une grande queue et des taches blanches et l'appeler thebigmarguerite

ben................. les taches blanches ca gène un peu, ca fait malade.









Pour le reste à mon avis il sera OK

et pour rets je le vois bien en thelittlefernandel sur le dos de thebigmarguerite

Bon aller... On reprend le feuille thon de l'été :

La bête à poils
maintenant hors-circuit,
c'est avec moile
que, près du puit,
nos héros firent une pause,
histoire de se rafraichir,
pas avec l'eau de rose,
mais une mousse à chérire !

Après quelques rituels
pour amadouer le dieu
de toutes les ruelles,
une binouse, que de mieux ?
Nos héros repartir
à l'attaque de ce gite,
une chaumière, une satyre ?
Un endroit qui s'agite ?............

Un satyre dans le coin ????
La peur les prend
Ne plus se coucher dans le foin
Voilà ce qui nous attend.

Les compères s"enfuirent
Poussant et tirant le side
Afin que ne puisse nuire
La vilaine bête livide
De sueur se faisant enduire
Nettoyant par le vide
Ils allèrent voire messire
Le Roi gras du bide.

Majesté, entonnèrent-ils
Nous sommes poursuivis
Papillonnants des cils
Tortillant du coxis
Tenant des propos débiles
Devant le Roi rassis.

Vous sentez la bière,
Répondit le monarque,
Ne faîtes pas les fiers
Et prenez cette barque,
Allez loin sur la mer
Quittez ma baraque.

Le trouillométre à zéro
Ils partirent dare-dare
S’en allant sur l'eau
S’éloignant du phare
Abandonnant la moto
Aux mains des barbares.

Voguant vers de nouvelles
Aventures pittoresques
Ils rament de plus belles
Sans surveiller leurs gestes
Qui, par la magie de gargamelle
Demi-tour leur fit faire
Les ramenant, sort cruel
Droit vers la même terre.

Lorsque sur la plage
Enfin ils accostèrent
Ils aperçurent le mage
Fulminant de colère.
La baguette levée
À défaut d'autre chose
Un vilain sort fut jeté
Bouclant la fuite en apothéose
Les forçant à picoler
Jusqu’à la divine cirrhose

Un lendemain difficile,
c'était à prévoir
- faut-il être débile
pour plus que de raison boire -,
mais c'est avec soulagement
(pas le bruit incongru
que fit le fondement
de notre roi bourru)
que comprirent nos héros :
le même rêve ils avaient
fait durant leur dodo ;
rêve qui en fait était
tout simplement un sort
que leur avait jeté
Gargamel et consort
en si belle soirée.

C'est donc au pied du puis
qu'au final fut l'éveil,
après une bien longue nuit
aux tumultes sans pareil.
L'esprit bien embrumée,
un cimetière bien en bouche,
ils finirent par se lever
sans pouvoir prendre de douche.

Les émanations gastriques
de sa royauté évacuées,
ramassant la trique
pas encore échaudée,
Sa Majesté chancelante
pris enfin décision
d'attaquer la branlante
demeure du trublion.

Voilà nos trois compères
à l'assault du bastion,
une simple chaumière
sans autre émanation
qu'un simple feu cheminant
le chemin des faisans,
personne en dedans,
ni un os, ni une dent...

Légèrement vexés
par la désertitudes,
ils préférèrent s'axer
sur d'autres certitudes.
Mais c'était sans compté
sur le vil Nestor
qui avait bien pédalé
sur le deux roues retord.
Qu'allait-il advenir
de nos héros en friche ?
Que sera l'avenir
de nos pauvres postiches ?
La suite, nous la saurons
au prochain numéro
de ce terrible feuilleton
sans aucun sombrero...

Balou faisant à nouveau parler de lui, rets de retour sur le forum, la plume qui démange thebig,


cela annonce de la prose grandiloquente

The dream team is back !!!

je viens de lire toute votre prose et je me demandais justement pourquoi vous aviez arrêté, c'est divertissant

alors bonne continuation

EEEEEEETTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTT
c'est reparti


Dans la presse entendu
L'annonce du retour de Balou
Et dans la télé vu
La trace de notre chouchou.
Serait il de sa montagne descendu
Pour une femelle trouver
Mais c'était peine perdue
Car la belle s'est barrée.
Ses empreintes laissant
A faire jaser les badauds
Il s'en alla à pas pesant
Le poids de l'amour sur le dos.
Faudra t’il, se dit-il, qu’un jour
Un portable j’achète
Pour pouvoir trouver l’amour
Et sortir de ma cachette.
Je m’en vais briquer mon solex
Et graisser son bi-turbo
Mettre à ma patte ma rolex
Et prendre de moi une belle photo.
Au village sur un arbre
Je l’afficherais de visu
Taillant et peignant ma barbe
Et ma fourrure touffue.
Peut-être un petit galure
Sur ma fière tête
Me donnera fière allure
Pour aller à la fête.
Là, j’y trouverais sans doute
Une nounourse bien dodue
Qui me servira de casse-croûte
Dans ma montagne perdue.
Faudra t’il que je songe
A un solex tandem
Dons que dans la dépense je plonge
AH quel cruel dilemme.
Aurais je du, tel l’Arsène
Pour arriver à mes fins
Lors de la Giornata
En jouant sur ma veine
Caché dans les lupins
Choisir la Scudéria.
Mais pourtant,
OH vision paradisiaque
Les yeux m’en tombant
Tel un tableau démoniaque
Moulte coupés
De toutes les couleurs
Sur l’herbe bien rangés
Faisaient battre mon cœur.
Les suivants
Lors de leur envols
grognant et pestant
Comme le brave Guignol
Sur ma fière monture
Couché dans les descentes
Poussant force injures
les poumons au service après-vente
Hananant dans les montés
Suant sous mon casque
J'arrive chez Fernand le bien nommé
Pour y poursuivre mes frasques.
Et Là, devant mes yeux ébahis
Apparu Mercedes,
La poule de ma vie
Enfin quoi.........ma déesse.
Mais ma joie pourtant
fut de courte durée
Le maître des lieux sortant
Avec de saucisses un plateau chargé
Que prestement il déposa
sur un barbecue fumant
Merguez, poulets et chipolatas
Veilles par un poussin géant.

Euh... tu peux nous montrer des photos de la connexion de l'intercooler sous les méninges