(Evite l'encadré des citations lorsque tu veux dire que tu fais un HS. Ecrit simplement "HS on :", c'est plus compréhensible
)
Pour te répondre, je ne suis pas tout à fait d'accord avec toi. Il y a des hommes (ou des femmes) politique qui ont fait de très bonnes choses pour notre pays (tout bord confondu). Mais, personnellement, et ceci n'est que mon avis et n'engage que moi, je trouve qu'à l'heure actuelle et si il n'y a pas un revirement rapide des choses, on va droit dans le mur !
Et, ce qu'il y a de plus grave, nos chers têtes pensantes du gouvernement actuel (dont les lignes principales de la politique intérieure sont dictées par le Président de la République) commencent à dépasser les limites de la liberté individuelle, et donc du peuple. Pour ne citer qu'un exemple, et pour rester dans le domaine du sujet de notre forum, c'est à dire l'automobile, savez-vous qu'une loi a été promulguée, il y a quelques mois, qui instaure la confiscation d'office du véhicule (sans que cela passe par un juge) en cas de récidive ? C'est-à-dire qu'un gars qui gagne 1500 euros par mois, et qui s'achète un coupé à 6000 (4 mois de salaire), veut tester sa tuture en toute sécurité (180 km/h sur autoroute alors qu'il est tout seul) et se fait flashé. Il se tient tranquille pendant 6 mois, mais il veut décrasser la tuture et roule à 140 km/h sur une nationale, de nuit et avec une ligne droite de 10 km. Et, manque de chance, de nouveau flash... Il y a récidive, et l'état confisque d'office le véhicule qui sera, soit vendu aux enchères si sa valeur dépasse celle des frais, sinon purement et simplement détruit. Le gars aura bossé 4 mois, pour que 6 mois plus tard il n'ait plus l'objet qu'il aura acheté... C'est comme si on achetait une télé et que 6 mois plus tard l'état la réquisitionne parcequ'on ne regarde pas assez les chaînes publiques...
C'est une atteinte à la propriété et la liberté individuelle...
Et le pire, c'est, qu'en ce moment, ce genre de loi se retrouve dans beaucoup de domaine (et notamment dans les produits de base comme l'alimentation)...
Par contre d'accord avec toi pour dire, qu'à la base, le problème vient de nous.
Mais, quand, dans une république, on ne tient pas compte des non-votants, des abstentionnistes ou des bulletins blancs, le "nous" devient obsolète puisque l'on ne s'intéresse qu'à ceux qui ont voté pour un candidat... Même avec 90% de bulletins blancs (donc des gens qui ont voté), l'élection se ferait avec les 10% qui reste. Un paradoxe en soit n'est-il pas ?